Le groupe A est monté tout en haut de la Dôle
Après nous être entraîné sur la piste verte en bas des pistes, on a monté le grand tire-fesse.
Tout en haut, près d’une falaise, on a vu le Mont-Blanc et la chaîne des Alpes.
De l’autre côté le chalet était tout petit. Sur la montagne le moniteur nous a montré une dizaine de chamois dans les rochers.
Nous sommes repartis en descendant la piste bleue en faisant des petits virages chasse-neige. La piste faisait presque 2 kilomètres avec des pentes fortes, mais personne n’a fait de chute très sérieuse.
La descente s’est bien passée, alors nous sommes remontés sur le tire-fesse et redescendu en faisant encore des petits virages chasses-neige. Nous sommes descendu jusqu’au chalet, et Jacques, notre moniteur, nous a donné notre première étoile.
Alexandre Anaïs
Ce matin on a eu encore une leçon de ski.
On a pris le tire-fesse et on a fait des petites descentes avec des virages.
A la fin Yves nous a organisé un terrain de slalom pour nous entraîner.
Cet après-midi on pouvait choisir entre raquette et ski de fond.
Ceux qui ont fait des raquettes ont vu des traces de lièvres et ils ont fait de la luge, ils ont aussi vu les bornes de la frontière entre la France et la Suisse.
Ceux qui ont fait du ski de fond ont fait des descentes et ont aussi vu des traces de lièvres.
Céline et Marie
Nous sommes allés sur le tire-fesse de Cuvaloup.
Il est plus grand que ceux qui sont à côté du chalet. Il va beaucoup plus vite aussi. Il y en a qui sont tombés au début, mais à la fin tout le monde a réussit.
Nous avons fait des descentes sur la piste verte. Nous sommes descendus en chasse-neige pour ne pas aller trop vite.
A la fin de l’après midi, les moniteurs Aurélien et Florian nous ont donné la médaille du Flocon.
Les petits ont découvert les joies du ski de fond
Nelly
Grégory le secouriste
Grégory le secouriste suisse nous a présenté son sac. Dedans il y avait des compresses pour soigner les petites blessures.
Pour transporter une victime qui s’est gravement blessée au milieu d’une piste, le secouriste utilise une luge qui mesure environ deux mètres.
Dans la luge, il y a un oreiller amovible, un sac de couchage et une autre couverture.
Des sangles serrent les couvertures et la victime.
Grégory descend la luge et freine de temps en temps, puis emmène la victime et la confie aux ambulanciers. Il a aussi du matériel comme une bouteille d’oxygène et des minerves pour les blessures graves.
Les accidents qui peuvent arriver sur les pistes :
–des petites coupures sur les jambes
–se casser un bras ou une jambe
–se faire percuter par un autre skieur et foncer dans les sapins.
Kévin Chloé Bastien
